« Juillet 1967. Un sanatorium à Riga (ex-URSS). Lidia, une « patiente », excentrique, parvient à attirer l’attention puis la sympathie de Rodion, le médecin-chef de l’établissement, homme bougon et renfermé. Ces deux êtres, à l’automne de leur vie, s’apprivoisent, se provoquent, se séduisent. Cette rencontre éclaire leurs existences, leur ouvre de nouveaux horizons et chasse leur solitude.
Ce Bateau pour Lipaïa, du dramaturge russe Alexei Arbuzov est une ode vibrante à la vie : la vieillesse n’est pas le temps de la nostalgie ou des regrets… C’est celui de la force de l’expérience et des souvenirs. Cette force vitale qui permet de ne jamais se délaisser et d’avancer sereinement au travers des événements… Et ainsi, conjurer l’affaissement de la personnalité et le renoncement avec pour seul mot d’ordre : jusqu’au bout, il y a la Vie ! »