Installez vous sur les banquettes,
le spectacle commence avec les cuistots qui s’affairent en cuisine !
A la carte, un choix d’exception vous est offert avec une cuisine simple mais très généreuse.
On démarre bien sur par L’apéro, avec des agapes à se partager à volonté: Finger de tête de veau à la française , terrine de campagne, et rillettes de volaille, pâté en croûte ( pâte bien beurrée du pâtissier, gelée au porto, pistaches et cœur fois gras). Puis on se laisse tenter par les Trouvailles, des pépites artisanales chinées aux quatre coins de la France.
On vient surtout pour la spécialité Dubillot !
La cuisine au charbon de bois avec le fameux barbecue, pièce maîtresse de la maison !
Un coup de cœur particulier pour la côte de bœuf de Salers à la braise arrosée au beurre de la laiterie de Kerguillet, bien maturée, servie avec un généreux gratin dauphinois dans un plat en fonte. Mais également, tout aussi succulente, l’épaule d’agneau, confite toute une nuit durant, puis rôtie à la braise comme les grands-pères savent le faire. Sans oublier le gigot d’agneau à partager, la volaille jaune de Bourgogne de Chapon Bressan au charbon de bois et frites maison, ou encore le cochon de lait rôti….
Rassurez vous, Dubillot a pensé également aux amis végétariens en leur concoctant des assiettes très gourmandes et tout aussi délicieuses!
Pour finir, on s’arrêtera volontiers sur la carte des desserts, véritable Madeleine de Proust à elle seule, que l’on doit au chef pâtissier Clément Le Cam. Dispatchés ici et là derrière les nombreuses vitrines rétro, on reluque avec envie les parts de tarte de mamie, le mille-feuille bien régressif ou encore le riz au lait archi-crémeux. Exception faite aux grandes tablées, où les desserts pourront être servis version XXL, y compris pour l’incontournable Paris-Brest qu’on ne présente plus.