Évasion en Charente et Charente Maritime. A la découverte de ses trésors.

Évasion en Charente et Charente Maritime. A la découverte de ses trésors.

Vous avez décidé de visiter cette belle région ? Vous êtes au bon endroit ! 

SortiesCulturelles.com vous ouvre les portes de ses plus belles découvertes : pépites patrimoniales, tables gourmandes, rencontres inspirantes et escapades inattendues…De quoi faire de votre séjour une parenthèse enchantée, entre culture, nature et art de vivre.

Aubeterre, entre ateliers, vertiges souterrains et vieilles pierres.

Deux jours d’évasion entre nature, patrimoine et rencontres humaines. Des Charentes intérieures aux rivages de la Gironde, chaque halte raconte un visage, une passion, une lumière artistique. Ici, le voyage ne se résume pas à voir, mais à ressentir. Une immersion tout en sensations et émotions où l’on découvre que la beauté se cache autant dans les lieux que dans ceux qui les font vivre.

Le village sculpté dans la lumière.

Perché sur les coteaux, Aubeterre-sur-Dronne se découvre comme un écrin suspendu entre ciel et terre. Classé parmi les Plus Beaux Villages de France, il déroule ses ruelles pavées, ses passages voûtés, ses façades blondes dont la pierre calcaire reflète une lumière douce et changeante. On s’y perd avec bonheur au fil des ateliers et galeries, des portes entrouvertes d’où s’échappent odeurs de pain chaud ou de terre cuite. Vous découvrirez un village vivant animé par les artisans. 

Accordez-vous le temps nécessaire pour y pratiquer l’art de flâner.

Atelier Kairos -Manon Clouzeau - La sérénité du geste, la fée du bol.

C’est d’ailleurs au détour d’une de ces ruelles que l’on rencontre Manon, potière lumineuse, dont l’atelier semble à lui seul condenser toute la sérénité du village.

Derrière une façade de pierres blanches, son atelier est habité de lumière. Manon Clouzeau façonne l’art du bol comme on écrit une histoire. Installée à Aubeterre depuis 12 ans, elle a réalisé le rêve d’enfant qu’elle confie en riant : « Quand je serai grande, j’aurai une maison avec du sable au sol !»

Potière de vocation, elle tourne depuis ses 13 ans et s’est formée cinq ans à Bruxelles (Ecole de céramique). Le coup de foudre pour le bol vient d’une visite au musée Guimet et d’une connexion intime avec la cérémonie du thé. 

Aujourd’hui, ses pièces voyagent : salons (dont Les Tupiniers à Lyon), clientèle internationale, diffusion sélective (boutique Neo Thé, rue des Martyrs à Paris).

Elle travaille différents grès (terres blanche, noire, rouge brique) et la porcelaine avec des teintes toujours douces, jamais criardes. 

Tournage rapide et précis, émaillage patient et intuitif. Chaque pièce est unique. Toutes respirent la même harmonie organique. Si vous avez la chance de visiter son atelier, elle vous fera vivre un moment fort : dégustation d’un thé oolong infusé de 3 à 15 fois à la japonaise. On mesure là combien la matière du bol influe sur la dégustation (température, texture, toucher des lèvres). 

Ici, le bol n’est pas un simple contenant. C’est un médiateur entre l’humain et la nature.

Visite de son atelier sur rendez-vous uniquement.

Ne manquez pas cette rencontre, 

Manon partage volontiers ses rituels et son univers.

Poterie de la Passiflore - Xavier Maffre - La terre qui respire.

Toujours au fil de votre visite dans ces jolies ruelles, faites un arrêt à la Poterie de la Passiflore de Xavier Maffre. Ce céramiste y expose un travail généreux : grès, porcelaine, émaux profonds et formes franches qui donnent envie de toucher la matière. Le bois ancien, les jarres, les vases, les bols aux nuances vibrantes racontent Aubeterre, terre d’artisans.

Ici, l’argile vit. On hésite, on compare, on imagine l’objet dans sa maison… puis on craque ! : un bol en porcelaine rouge et crème nous a littéralement choisis…. Un souvenir humble qui prolonge le geste de l’artisan jusque chez soi.

A La Taverne Pierre Véry pour une pause gourmande au cœur du village.

À deux pas de la place, La Taverne Pierre Véry offre une parenthèse chaleureuse et sans chichis : tables en bois, équipe souriante, cuisine de saison assumée.

Dans le menu du jour, des assiettes bien présentées où le produit régional s’exprime pleinement :
– Salade périgourdine (foie gras, gésiers, magret fumé)
– Velouté réconfortant relevé d’herbes fraîches
– Thon snacké au sésame parfaitement assaisonné
– Confit de canard tendre à souhait avec petites pommes de terre rissolées.

Une halte idéale à prix doux avant de plonger dans le patrimoine. Dès que le soleil s’invite au rendez-vous, profitez de la très belle terrasse  face à son décor de verdure. 

Église souterraine Saint-Jean - Sous la pierre, la foi.

Quand vous descendrez au cœur de la falaise, vous ressentirez l’émotion brute d’Aubeterre en découvrant sa cathédrale troglodyte creusée il y a près de neuf siècles. Sous l’impulsion d’un archevêque de Bordeaux, à l’époque de la réforme grégorienne et de l’appel d’Urbain II à la croisade, naît une idée folle : reproduire un fragment de Terre sainte, en l’occurrence une reproduction du Saint-Sépulcre.

Après un refus à Saint-Émilion, le projet se concrétise ici, au XIIᵉ siècle, sous le château de l’épouse du vicomte d’Aubeterre, Pierre de Castillon. Une propriété privée qui permet alors d’échapper à tout barrage administratif … une stratégie hautement payante qui, à ce jour, fait toute notre admiration.

On creusa par le haut, étage après étage. L’église, d’abord dédiée à Saint-Sauveur, prit ensuite le nom de Saint-Jean. Dix-sept mètres de hauteur, taillés à même la falaise, dessinent un espace saisissant où chaque paroi, chaque voûte garde l’empreinte de la main humaine. Les jeux de lumière s’y glissent comme des prières, révélant des volumes d’une beauté austère et mystique.

Sanctuaire, mais aussi immense nécropole, l’église abrite des tombes anthropomorphes orientées vers l’est : on croyait alors que l’âme s’échappait par les pieds pour gagner Jérusalem. Particulièrement émouvante, la tombe des tout-petits, surnommés les voleurs de paradis, rappelle la croyance selon laquelle les enfants morts avant sept ans étaient préservés du péché.

Au centre, un reliquaire inspiré du tombeau du Christ évoque le lien spirituel avec la Terre Sainte : les reliques ont disparu, mais l’aura demeure, intacte.

On descend ensuite vers la crypte du XIIᵉ siècle, les stalles des chanoines, quelques fragments de peintures murales et même une source naturelle découverte lors du creusement. Preuve que la pierre en ces lieux n’a jamais cessé de vivre.

Les piliers rongés par l’humidité furent consolidés dans les années 1970 : le ciment poncé et incrusté de fossiles a retrouvé la teinte d’origine, respectueuse du sanctuaire.

Et puis vient ce moment suspendu : le silence et le vertige.
Une atmosphère d’austère beauté où la pierre invite à la prière.

Avant de repartir, consultez la programmation culturelle : concerts, lectures et autres événements artistiques qui animent ce lieu majestueux. Son acoustique exceptionnelle transforme chaque note en écho sacré.

Château de la Mercerie - Le « petit Versailles » charentais, une épopée humaine.

Cap sur Magnac-Lavalette-Villars où se dresse un château à l’histoire autant démesurée que fascinante. Le Château de la Mercerie naît au XVIᵉ siècle dans une famille de merciers, d’où son nom. Abandonné près d’un siècle, le domaine voit sa maison d’origine rasée pour faire place à un manoir néo-troubadour, avant d’être repris par deux frères visionnaires : Raymond et Alphonse Rethoré.

Le premier, Raymond, directeur en chef de La Charente Libre et passionné de lettres, rêvait d’un palais à la gloire de la beauté. Le second, fragilisé par la santé, trouva dans l’architecture une raison de vivre. Ensemble, ils se lancèrent dans un projet insensé : ériger un Versailles en Charente.

Tout commence par la façade monumentale qu’ils prolongent encore et encore… jusqu’à être ruinés. L’histoire tourne au roman noir : accidents mortels du père et de la fille à quelques kilomètres d’intervalle, dettes abyssales, tentative de vente à un antiquaire, intervention de la DRAC, puis classement d’urgence aux Monuments Historiques.

Un destin chaotique pour cet édifice dont seule la façade subsistait, majestueuse et orpheline, témoin d’un rêve devenu mirage 

Et puis, la renaissance…

Depuis plus de quinze ans, un homme d’exception porte le château à bout de bras : Didier Jobit, maire passionné et visionnaire. Tel un chef d’orchestre habité, il mène le chantier avec ténacité, pédagogie et bienveillance, convaincu que le patrimoine ne vit que par un engagement collectif. Sous son impulsion, plus de 400 bénévoles se sont relayés, des artisans et entreprises ont offert leur savoir-faire en partenariat ou mécénat. Le château, dégagé de toute dette, rayonne à nouveau dans son territoire.

La visite déroule ses galeries lumineuses, ses salons habillés de boiseries en chêne et châtaignier taillés dans les arbres du domaine, et une salle monumentale ornée de faïences portugaises d’un raffinement rare. Un ensemble unique en France. Chaque pièce raconte un fragment d’histoire, une émotion, une résurrection. Enfin, on gagne l’Orangerie, vaste et claire, promesse de fêtes à venir.

Épopée romanesque, chantier colossal, histoire d’amour collectif : la Mercerie touche l’âme parce qu’elle renaît sous nos yeux.

Au cours de la visite… un clin d’œil malicieux :

Dans l’une des salles, un curieux placard dissimulé renferme un petit trésor de tableaux… très particuliers. On ne vous en montrera ici que quelques fragments, pour préserver le mystère. À chacun d’aller découvrir sur place ce secret bien gardé, niché au cœur du Versailles charentais !

Nuit à Naturo-Gîtes (Nieul-Le-Virouil) -Un havre de bienveillance.

Changement d’univers pour une soirée très cocooning. 

À Naturo-Gîtes, Julie (naturopathe)  et Renaud ont créé une maison d’hôtes où l’on se sent immédiatement accueilli. 

Ancien couple de restaurateurs près de Lyon, ils ont choisi la voie du bien-être et de la nature : ateliers aux Thermes de Jonzac, projets de retraites thématiques (dont « Respire & Repars » pour les entrepreneuses), massages Abhyanga (réservés aux femmes), ateliers santé & alimentation, art-thérapie, si la météo s’en mêle…Tout ici invite à la paix intérieure. 

Vient le moment du dîner …

Leur hectare de verdure (potager, fruitiers, herbes) nourrit une table saine et créative : kéfir d’hibiscus à l’apéritif, tartare d’algues, soupe anti-inflammatoire (carotte, topinambour, patate douce, chou-fleur violet, granola), galette de sarrasin au chèvre (œufs Bleu-Blanc-Cœur, beurre ghee fait maison), aubergine infusée au thé de Dharamsala, cèpes du bois voisin au pesto de fanes de carottes, fond de tarte crue aux pommes du jardin et caramel végétal. Tout, vaisselle, dressage, fond sonore est pensé pour éveiller les sens. 

Julie cuisine comme elle accompagne : avec douceur et intention. Son credo : peu de sucre, peu de sel, beaucoup de goût et d’écoute. 

Leur bienveillance infuse le lieu. Et l’on repense à cette phrase, offerte plus tard par Philippe Duteuil (que l’on retrouvera à Cap’ sur Maubert au bas de cet article)  et qui connait bien le gite:

« C’est incroyable, ce couple est exceptionnel… on dirait que Julie et Arnaud se lèvent tous les matins pour faire du bien. »

Les chambres respirent la paix et l’équilibre. Chacune possède son identité chromatique, moutarde solaire ou vert d’eau apaisant, mais toutes racontent la même histoire : celle d’un refuge simple et harmonieux pensé pour le repos du corps et de l’esprit. Les murs en pierres apparentes dialoguent avec les poutres anciennes et la lumière naturelle s’adoucit à travers les rideaux de lin. Les objets déco choisis avec goût par Julie ajoutent une touche d’âme et de douceur a ce gite d’exception.

Rien n’est superflu et tout respire le calme et la cohérence.  ici, on se reconnecte à soi autant qu’à la nature environnante. On se sent comme enveloppé par la bienveillance des lieux. 

Une douce matinée avec Julie et Arnaud.

Le jour se lève sur la grande table en bois du Naturo-Gîte : une scène paisible où tout a été pensé pour nourrir le corps et apaiser l’esprit. Julie et Renaud ont préparé le petit déjeuner avec le même soin qu’un dîner : jus de betterave et gingembre fraîchement pressé, pain maison encore tiède, cake aux fruits secs, granola “artistique”, confitures maison et un délicieux plateau de fromages de chèvre provenant d’une productrice voisine. 

La vaisselle choisie avec goût, les textures vivantes et l’ordre feutré de la table donnent le ton : ici, chaque détail compte. Tout est fait maison, sauf les yaourts de chèvre,  comme un clin d’œil à cette chaîne vertueuse du vivant que Julie défend si bien. On parle doucement, on se réveille lentement. On quitte la table le sourire aux lèvres, rassasié autrement : par la douceur, la beauté, et cette impression rare d’avoir vraiment pris soin de soi.

Atelier cuisine avec Julie – Cuisiner le végétal autrement

Cap sur la cuisine lumineuse du gîte : bocaux alignés, odeurs franches, ingrédients bruts. Julie, naturopathe passionnée, et Renaud, discret complice du lieu, guident un atelier joyeux et sensoriel où l’on découvre que le végétal n’est pas une alternative, mais une célébration du goût.

Au programme, trois recettes signatures, simples et bluffantes :

Rillette de lentilles — relevée d’un trait de tamari, de citron, d’une pointe de piment d’Espelette et de noix concassées. Sur pain au levain, elle soutient sans complexe la comparaison avec sa cousine carnée, 

Tartare d’algues au chèvre frais — un équilibre iodé et délicat où le croquant et la douceur dialoguent avec une petite acidité bienvenue.

Tarte aux pommes tièdes sur fond de pâte crue — dattes, flocons d’avoine et huile de coco se substituent à la farine et au beurre. En dix minutes, un fondant-croquant qui exhale la douceur des pommes du jardin et un caramel végétal tout en finesse.

Julie transmet sans dogme : geste précis, pédagogie bienveillante, humour léger. On comprend, on sent, on goûte, on respire. On repart léger et inspiré, convaincu qu’une cuisine saine peut être un festin. Il commence par une attention aux matières, aux saisons, aux sens. 

Envie de recevoir ces recettes ? n’hésitez pas à contacter Julie !  

Chez Julie et Renaud, tout devient apprentissage et plaisir : comprendre, sentir, goûter, respirer. L’atelier se termine dans les rires, les échanges et cette sensation rare d’avoir appris à cuisiner autrement, avec conscience et gourmandise.

Cette parenthèse chez Julie et Renaud restera mon coup de cœur 

Les Halles de Jonzac – Le cœur battant de la ville

Sous la charpente métallique de 1889, les Halles de Jonzac bruissent de voix et de parfums. Autrefois installées devant le château, elles furent déplacées à la demande du Comte de Jonzac et devinrent vite un lieu polyvalent : on y a vu des combats de boxe, des spectacles. Maurice Chevalier y fit même vibrer les planches. 

Aujourd’hui, trois fois par semaine, producteurs et habitants s’y retrouvent dans une belle simplicité : légumes croquants, fromages, poissons de l’estuaire, sourires complices. L’été, les mercredis soirs prennent des airs de guinguette : stands en circuit court, tables partagées, musique live. C’est la convivialité à la charentaise, authentique, généreuse et solaire.

Restaurant Le Comptoir du Marché – Saveurs au fil des Halles.

À deux pas du tumulte joyeux du marché, Le Comptoir du Marché honore la promesse de son nom : cuisine maison, arrivages du matin et une ardoise qui change au gré des saisons. 

On se laisse guider par le menu du jour :

Terrine de campagne au cognac et pickles ou effeuillé de lieu noir (salade de pommes de terre, mayonnaise à l’ail). 
Ballottine de merlu, purée fine et légumes caramélisés nappée d’un consommé aux épices douces.
Cheesecake vanille-clémentine acidulé juste ce qu’il faut !

• plateau de fromages de la région.

Les assiettes sont élégantes, le dressage précis. Une sincérité qui fait mouche. Une adresse de confiance chaleureuse et sans chichis où l’on goûte la Charente sans l’ombre d’un artifice.

Port Maubert – Cap sur la nature

Une escale à ne pas manquer sur l’estuaire de la Gironde.


À Port Maubert, sur la commune de Saint-Fort-sur-Gironde, le site communautaire réunit l’École de voile et l’association Cap’ sur Maubert : un véritable quartier général de la nature à une trentaine de kilomètres de Jonzac. C’est Philippe Duteuil qui accueille les visiteurs avec un enthousiasme contagieux. Autour de lui, une équipe passionnée a fait de la médiation naturaliste une vocation. On ne vient pas seulement se promener : on vient apprendre à lire le paysage. À pied ou à vélo, les chemins invitent à ralentir, à observer, à comprendre.

On joue à la course d’orientation sur les traces des animaux. On découvre le Goupil de Maubert, ce renard rusé devenu mascotte du site. Et l’on participe à des ateliers nature adaptés à tous les âges. En saison, certaines balades se font même en calèche pour une approche douce et poétique du marais.

L’emblème du lieu ? La cigogne blanche, symbole de l’estuaire. Un espace lui est entièrement dédié : suivi GPS, observations respectueuses, sensibilisation par l’émerveillement. L’éducation à la nature ne passe pas par la morale, mais par la curiosité et la beauté du vivant.

Mais Philippe Duteuil sait aussi captiver par ses récits : il évoque les anguilles, ces voyageuses mystérieuses qui parcourent les océans depuis les côtes de Cuba jusqu’à nos rivières charentaises. Elles naissent sans sexe, deviennent mâle ou femelle selon leur densité, mettent un an à rejoindre nos eaux, grandissent de 3 à 14 ans, se transforment en anguilles argentées prêtes à repartir vers les abysses de l’Atlantique pour pondre… Un cycle fascinant, encore partiellement inexpliqué. 

À Maubert comme partout,  leur pêche reste strictement réglementée, réservée à des professionnels agréés : la civelle ou pibale n’est capturée qu’à l’âge d’un an.

Tout un monde animal et végétal se révèle grâce à une équipe de passionnés toujours prête à partager son savoir avec pédagogie et humour. Ouvert le 29 mai 2025, Cap’ sur Maubert a très vite trouvé son public. Son ambition : faire de ce coin d’estuaire une escale d’apprentissage et de respiration où l’on observe, on comprend, on s’émerveille…

De la table lumineuse de Julie et Arnaud à l’église Saint Jean, de l’atelier de Manon aux étals des Halles, du bistrot de Jonzac au marais habité d’oiseaux …. vous êtes tous invités à découvrir ces merveilles de nos belles Charentes.

INFINIMENT CHARENTES

Pour vivre un séjour inspirant au cœur des Charentes secrètes … contactez l’équipe de INFINIMENT CHARENTES 

La consommation d’alcool est interdite aux moins de 18 ans. L’abus d’alcool est dangereux pour la santé. – A consommer avec modération.

Laurence Trinquet 11/11/2025